La peur est la réaction de l'organisme face au danger: elle sonne l'alerte dans l'organisme et mobilise nos ressources pour faire face à l'adversité. En état d'éveil maximal, le cerveau analyse la situation en croisant les multiples données. Il organise notre protection et choisit la meilleure attitude: fuir, combattre ou faire le mort.
Dans certaines situations la peur démultiplie nos capacités. Nous interprétons négativement nos battements cardiaques, nos mains moites et l'envie de courir.
Toutes les peurs sont-elles justifiées ? Il paraît inutile et bloquant d'être effrayé par son patron, de craindre le jugement , le qu'en dira t-on , l'avion, les souris, et autres araignées. Un effroi excessif ou déplacé est un" élastique" ou un " racket" L'émotion n'est alors pas à ressenti ou exprimer mais à déraciner en écoutant le traumatisme ancien ou l'affect sous jacent.
ANXIETE FACE A L'EPREUVE OU AU CHANGEMENT :
Un examen, un concours, une épreuve sportive, un déménagement,un licenciement,un nouveau travail... Le risque est psychologique. Il n'est pas moins présent. L'angoise du futur semble être une émotion spécifquement humaine: elle est inhérent à la conscience de l'avenir, à la capacité de se représenter des possibles : se tromper, faillir, échouer, ne pas savoir faire face, ne pas être apprécier,sont des peurs bien naturelles pour tout un chacun.
Il y'a une part normle d'anxiété devantl les perspectives ouvertes par l'incertitude du futur. Ce qui permet de l'assumer, de la tolérer en soi sans être désireux de la supprimer à tout prix par des cachets,une cigarette, ou un verre de vin, c'est la sécurité intérieure , la confiance en soi.